Alliances Bagues

La tradition des bagues de mariage remonte à l’Egypte antique, l’échange des anneaux entre deux époux au XIXe siècle. Les joailliers rivalisent d’imagination et de savoir-faire pour créer des alliances qui sortent de l’ordinaire, ou au contraire miser sur le classicisme – avec un luxueux détail. Le choix commence par celui du métal. Lire la suite
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L’alliance, une histoire d’amour née dans l’Antiquité


L’alliance est la bague d’une vie, elle vient sceller une union, incarner un engagement, symboliser la fidélité. Cet anneau plein de promesses ne date pas d’hier, ni même d’avant-hier : les premières bagues de mariage remontent à l’Egypte antique. Elles étaient certes constituées de chanvre ou de roseau tressé mais le cérémonial autour de l’alliance était déjà bien présent. La Grèce, la Rome antique, le Moyen-Age ont conservé cette tradition, bien que les alliances avaient déjà évolué vers du fer. Quant au port de l’alliance à la main gauche, son origine remonte au XVIe siècle, mais ne concerne en réalité que les pays de tradition catholique, la France en tête. Nos voisins allemands et les contrées protestantes d’une manière générale ont opté pour la main droite. La dernière étape de l’usage des alliances tel qu’on le connaît aujourd’hui est l’échange des anneaux, puisque seul l’époux passait jusque là la bague au doigt de sa promise. Le pas a été franchi au XIXe siècle. Avec l’époque contemporaine est enfin arrivée la période des tendances. Ainsi, à une alliance fine et de couleur unique jusqu’aux années 2000, on est passé à une alliance plus large, parfois bicolore, parfois même composée de deux anneaux. Cette liberté de styles a ouvert la porte à de nombreuses créations dans les Maisons de joaillerie.

Choisir ses alliances, c’est une question de style


Des formes nouvelles sont ainsi venues s’ajouter au traditionnel jonc en or, qu’il s’agisse d’ailleurs d’un demi-jonc (arrondi sur la face extérieure, plat à l’intérieur), d’un jonc parisien plus épais ou d’un ruban plat avec des bords droits. L’alliance peut être ciselée, torsadée, striée, sertie de pierres précieuses, etc., son anneau brillant, mat ou martelé, tout cela au gré des inspirations créatrices et des savoir-faire des joailliers. Chez Fred, l’alliance Force 10 dévoile le câble tressé de la collection iconique. Chez Chaumet, elle adopte les alvéoles de Bee My Love. Cartier joue la simplicité d’un anneau gravé serti de deux diamants quand Poiray dévoile avec For Ever une dentelle de cœurs en or rose et diamants bruns. Il y a tant et tant de modèles d’alliance - quelle marque de luxe n’a pas son catalogue Mariage ? – que la diversité a évidemment une conséquence directe pour les futurs mariés : l’embarras du choix ! Alors oui, choisir des alliances est d’abord une affaire de style et de goût. Mais au-delà, l’un des premiers critères de choix est le métal. Cette bague unique et précieuse est faite pour durer. L’or 18 carats, qu’il soit jaune, rose, blanc, est de fait le métal idéal pour une alliance. Composé à 75% d’or fin, il est à la fois plus résistant que l’or 24 carats, plus robuste dans le temps et plus éclatant que l’or 9 carats. Quant à la teinte, il est possible au pire de choisir une bague bicolore, voire carrément les trois anneaux de la célèbre Trinity de Cartier. Le platine constitue une excellente alternative, notamment pour les hommes. Il est également réputé pour sa longévité et son éclat – qui tire vers le gris quand celui de l’or blanc tire vers le blanc. Ce métal plus rare, et utilisé pur, est cependant plus cher. Quant aux pierres, si elles ornent depuis longtemps les alliances pour les femmes, elles ont fait leur apparition plus récemment – et plus discrètement – sur les alliances pour hommes. Oser est donc parfaitement autorisé !